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Loris Gréaud, no Palais de Tokio em Paris ofereceu-nos em 2008 uma obra exposição onde as obras coisas são apenas o modo de se penetrar nas dinâmicas do tempo espaço. :
«Église où quelques élus viennent nourrir une foi de virtuose tandis que conformistes ou faux-dévôts viennent y bâcher un rituel de classe, le musée peut devenir, un moment, le lieu de pèlerinage ou se pressent les troupes serrés de fidèles qui à New York, à Washington, à Tokyo ou à Paris, patientent en longes files pour jeter un bref coup d’œil, comme in baisait autrefois un crucifix ou un reliquaire, sur un chef-d’œuvre désigné à la ferveur collective…» (P. Bourdieu, A. Darbel, L’Amour de l’Art, Les Musées d’Art Européens et leur public, Paris, Éditions Minuit, 1971, p.131.)
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