«Il y a pire que la censure : l’autocensure. Pire que la violence qui vient de l’extérieur, celle que l’on s’impose à soi-même. La censure est en quelque sorte l’exception tonitruante qui surgit d’un sol d’autocensure ordinaire. C’est l’interdit brutal qui vient bloquer ce que le cycle long de l’autocensure n’a pas réussi à dissoudre dans les méandres du consentement»... André Rouillé, «Mai 68 à l’envers. Nouvelle censure à Bordeaux», in paris-art.com, 17 avr. 2008, Numéro 233,
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