15/03/2005
22/02/2005
21/02/2005
14/02/2005
13/02/2005
...un mouvement anti-contemporain dans l’art...(?)
André Rouillé publica em www.paris-art.com a 10 de Fevereiro de 2005, um editorial sobre conflitos latentes na Arte Contemporânea. Passamos a trancrevê-lo pelo simples desejo de o partilharmos consigo:
Out, l’art contemporain!?
On espérait essoufflée la polémique qu’avait allumée Jean Baudrillard en stigmatisant «la majeure partie de l’art contemporain» accusé de «s’approprier la banalité, le déchet, la médiocrité comme valeur et idéologie» (Libération, 20 mai 1996). Baudrillard affirmait notamment que «Warhol est vraiment nul, en ce sens qu’il réintroduit le néant au cœur de l’image» ; il insistait en l’accusant de «faire de la nullité et de l’insignifiance un événement qu’il transforme en une stratégie fatale de l’image».
Baudrillard ne se contentait d’ailleurs pas de déplorer la nullité qu’il voyait partout dans l’art contemporain, il faisait de cette nullité, plus décrétée que démontrée, le ressort d’un véritable «complot». L’extrême nullité des œuvres était supposée dérouter le public et susciter chez lui doute et culpabilité sur le thème: «Il n’est pas possible que ce soit aussi nul, ça doit cacher quelque chose». L’art contemporain était ainsi accusé de «spéculer sur la culpabilité de ceux qui n’y comprennent rien, ou qui n’ont pas compris qu’il n’y avait rien à comprendre».
On connaît les effets calamiteux que cette polémique à forts relents populistes a eus sur l’art, les artistes et les lieux d’art contemporains qui sont dès lors devenus la cible d’une multitude d’attaques décomplexées et débridées, directes ou sourdes, venues de toutes parts, du public aux décideurs politiques et économiques. Un verrou avait sauté sous l’action d’un groupe d’intellectuels. Certains se savaient dès lors autorisés à se proclamer péremptoirement contre l’art contemporain au moment où d’autres ne cachaient plus leur racisme.
L’offensive a culminé avec la publication d’un dossier intitulé «Art/non-art» dans la politiquement très à droite revue Krisis où, avec d’autres, Jean Clair, Jean-Philippe Domecq et Jean Baudrillard continuaient leur croisade pour un retour au métier des maîtres, à la figuration contre l’abstraction, à la matière contre l’idée, à la tradition contre la théorie.
Il n’est évidemment pas question de prétendre que l’art contemporain pourrait échapper à la critique. Bien au contraire, la critique, les analyses, les remises en question, les débats théoriques et esthétiques, les réflexions sur les rapports au public, à la société, au présent, etc. Tout cela manque terriblement et doit être encouragé sans réserve.
Mais, l’offensive qui s’est cristallisée autour de la «nullité» n’avait rien d’une exigence critique ou d’une interpellation circonstanciée et salutaire de l’art contemporain : elle condamnait en bloc (sans distinguer les œuvres singulières) au nom d’un retour à la tradition antémoderne.
Il s’agissait d’une offensive esthétiquement réactionnaire, au sens où elle se faisait en référence à des valeurs et des pratiques du passé, souvent même de l’époque d’avant Manet. La nostalgie et l’idéologie mesuraient les œuvres d’aujourd’hui à l’aune des valeurs esthétiques d’hier.
De tels mouvements n’ont rien d’exceptionnel, jusque dans leurs excès, leur virulence et leur méconnaissance de ce qu’ils abhorrent. Toute l’histoire de l’art est ponctuée par les cris d’horreur des adversaires de l’art en marche ou à la recherche de sa voie, aussi chaotique et incertaine soit-elle.
Que n’a-t-on écrit, non sans panache parfois, contre les impressionnistes, les cubistes, sans même remonter à Manet ou à Courbet ? Aujourd’hui, de nombreux critiques n’ont pas encore digéré Marcel Duchamp dont l’on a toute raison de craindre que ses readymade n’échappent pas au jugement de nullité adressé à la «majeure partie» des œuvres contemporaines.
Or, cette rémanence d’un mouvement anticontemporain dans l’art a récemment trouvé à s’exprimer dans un ouvrage de la petite collection «50 questions» des éditions Klincksieck, signé par Jean-Luc Chalumeau, et curieusement intitulé Histoire de l’art contemporain. Curieusement, parce que ce n’est pas une histoire, et qu’il s’agit moins d’interroger l’«art contemporain» que de lui opposer une posture artistique qualifiée d’«art moderne». Au nom de la vitalité décrétée d’un «art moderne» d’aujourd’hui, Chalumeau nie l’«art contemporain» dans sa légitimité d’art, dans son existence même.
Alors que Baudrillard fulminait contre la nullité de l’art contemporain, Chalumeau va plus loin encore en présentant comme une évidence que «l’art contemporain est une réalité, mais [que] ce n’est pas de l’art».
Pour soutenir cette thèse effrontée, Chalumeau bricole une contradiction supposée propre au (non)art contemporain : «Ses praticiens patentés, tel Bertrand Lavier, ne prétendent en aucun cas faire de l’art, tout en occupant, non sans jubilation, le champ habituel de l’art : les galeries, les musées, les biennales, les publications, etc.»
Le seul art véritablement vivant serait donc ledit «art moderne» auréolé d’un double état de victime et de résistant.
Victime, parce qu’il a été presque totalement exclu du champ de l’art par les «épigones plus ou moins légitimes de Duchamp (les contemporains)» ; résistant, en raison d’une nécessaire «résistance des artistes (les modernes) conscients de l’impasse historique où ils se sont laissé enfermer »…
Cette bien légère dialectique sera-t-elle suffisante pour soutenir une compréhension vive des devenirs de l’art ? Rien n’est moins sûr…
12/02/2005
10/02/2005
09/02/2005
Fazer memórias
No próximo dia 15 de Fevereiro de 2005 será entregue um conjunto de assinaturas recolhidas contra a pena de morte nos USA, na China e no Irão. Ainda pode assinar. Clique aqui.
08/02/2005
Anamnése
Anamnèse (du grec: faire mémoire)
Prière qui, dans la célébration de l'Eucharistie (= la messe), suit les paroles de la consécration. Après avoir élevé l'hostie et le calice, le célébrant dit: "II est grand le mystère de la foi" (ou une formule voisine), invitant ainsi l'assemblée à faire mémoire de la Passion, de la Résurrection et de l'Ascension du Seigneur.
Prière qui, dans la célébration de l'Eucharistie (= la messe), suit les paroles de la consécration. Après avoir élevé l'hostie et le calice, le célébrant dit: "II est grand le mystère de la foi" (ou une formule voisine), invitant ainsi l'assemblée à faire mémoire de la Passion, de la Résurrection et de l'Ascension du Seigneur.
07/02/2005
La Biennale di Venezia 2003
01/02/2005
Um manifesto para assinar
«Un art pour l’Homme» um manifesto para assinar.
Clique aqui: "Il est temp de se manifester!"
Clique aqui: "Il est temp de se manifester!"
"Artension se propose comme nécessaire véhicule d'informations concernant la partie la plus large, ouverte, vivante, inventive, sensible, généreuse, de la création plastique actuelle en France.
Artension veut être aussi le vecteur fédérateur pour tous ceux, artistes, galeries, amateurs d'art qui croient à l'art comme expression d'une nécessité intérieure individuelle et comme mystérieuse évidence partageable entre tous; qui croient également qu'il est urgent d'oeuvrer ensemble pour une juste réhabilitation du sens et du contenu, pour une réinscription de l'art dans l'humain."
Pierre Souchaud
Artension veut être aussi le vecteur fédérateur pour tous ceux, artistes, galeries, amateurs d'art qui croient à l'art comme expression d'une nécessité intérieure individuelle et comme mystérieuse évidence partageable entre tous; qui croient également qu'il est urgent d'oeuvrer ensemble pour une juste réhabilitation du sens et du contenu, pour une réinscription de l'art dans l'humain."
Pierre Souchaud
Directeur de Artension
09/01/2005
arte contemporânea
«L’art contemporain ne se divise pas en art profane et l’art sacré. Il est profondément humain, expriment les cris, les souffrances, les joies, les attentes, la soif spirituelle des hommes. Il est appel au dialogue. En cela, il est sacré».
Robert Pousseur, Les artistes, sculpteurs d’humanité, éditions Desclée de Brouwer, Paris, 2002, p. 52.
06/01/2005
05/01/2005
02/01/2005
Postmodernismo
Termino que se ha utilizado de manera amplia y difusa hace referencia a una gran variedad de fenómenos culturales, que expresa el alejamiento – iniciado en 1960, aproximadamente – de la seriedad intelectual de la modernidad a favor de un acercamiento más ecléctico y populista de la creatividade; según uno de los escritores más autorizados sobre el tema, “La postmodernidad es fundamentalmente la mezcla ecléctica de la tradición con lo que es su pasado: es la continuación de la modernidad y su trascendencia” Charles Jenks: What is post modernism? 1986). La palabra pasó al lenguaje cotidiano en los anos setenta y se utiliza sobre todo en discusiones sobre arte contemporánea tanto a nivel académico como periodístico, desde 1980 aproximadamente. Se ha empleado también como término estilístico (así podemos como hablar de pinturas o películas postmodernas) y para designar un período (la edad postmoderna), pero los especialistas no se ponen de acuerdo sobre la forma y el modo de su empleo (como modernidad es un concepto complicado, resulta difícil determinar de que manera la Postmodernidad deriva de él, por lo que algunos escritores han optado por hablar de postmodernidadades). La diversidad inherente al concepto lo hace especialmente reacio a ser definido o resumido, pero Chris Baldick hace un intento brillante en el Concise Oxford Dictionary of Literary Terms (1990):
“Se aplica a la condición cultural prevalente en las sociedades capitalistas avanzadas desde los anos sesenta (60) , que se caracterizan por una superabundancia de imágenes inconexas y estilos – más claramente en televisión, publicidad, desiño comercial y video pop. En ese sentido (…) se dice que la postmodernidad es la cultura de sensaciones fragmentadas, nostalgia moderada, simulacros desechables y superficialidad promiscua, en la que los valores tradicionales de profundidad, coherencia, significado, originalidad y autenticidad se desvanecen o disuelven entre el torbellino aleatorio de señales vacías (…) en términos muy crudos, donde un artista o escritor moderno intentan extraer un significado del mundo a través del mito, del símbolo o de la complejidad formal, el postmoderno saluda lo absurdo o la confusión sin sentido de la existencia contemporánea con una cierta indiferencia entumecida o frívola, que favorece tímidamente las obras faltas de profundidad (…). Los que lo utilizan más a menudo (el término) tienden a dar la bienvenida a lo ‘postmodern’ como liberación de la jerarquía de las culturas ‘elevadas’ y ‘bajas’; mientras que los escépticos (que a veces se refieren a los entusiastas postmodernos con desdén) ven el término como síntoma de la euforia académica irresponsable sobre el brillo del capitalismo consumista y su vacuidad moral”.
Fue el critico literario español, Federico de Onis en su Antología de la poesía española e hispanoamericana, 1882-1932(1934), quien utilizó el término por la primera vez; poco después lo hizo el historiador británico Arnold Toybee en su obra de varios volumen A Study of History (la parte en que aparece a palabra se escribió en 1938, aunque no se publicó hasta 1947). Toybee utilizó o vocablo en sentido muy negativo. Creía que la era postmoderna había comenzado en 1875 y se caracterizaba por el declive de la cristiandad, el capitalismo, el individualismo y la influencia occidental. Después de Toybee, el término apareció esporádicamente en las dos décadas siguientes, principalmente en contextos literarios; en los anos sesenta, Nikolaus Pevsner (1902-1983) lo introdujo en los debates en el campo de las artes plásticas. Él lo utilizaba en relación con la arquitectura, y el escritor que más lo popularizó en inglés fue el historiador angloamericano de la arquitectura Charles Jenks (1939), autor de The language of Post modern Architecture (1975) y dos otros libros sobre el tema. Jenks lo empleó para describir la reacción contra o austero, racional, bien definido Estilo Moderno Internacional (V. Moderno, Movimiento) y a favor de un atrevido eclecticismo; en este sentido es cuando el término adquiere todo su significado. Los arquitectos postmodernos retornan a las fuentes regionales y tradicionales, introduciendo color y ornamentos en un ambiente divertido. Uno de los más conocidos, el americano Robert Ventura (1925), escribió que le gustaban “más los elementos híbridos que los puros” y prefería la “vitalidad desordenada” a la “unidad evidente”.
Fuera de la arquitectura resulta más difícil catalogar obras como postmodernas, pero lo término se aplica a menudo a las pinturas y esculturas que mezclan por igual estilos disparatados y aluden a referencias culturales conocidas de forma irónica. Al Pop art, por ejemplo, se le ha etiquetado como postmoderno, y hay una similitud cierta en la atención que presta al estilo y a la superficie y en cómo borra la distinción entre arte elevada y arte popular. Más recientemente se han citado como postmodernas las obras seudoclassicas del artista británico Stephen Mckenna (1939) y las del italiano Carlo Maria Mariani (V. Pintura Colta), así como el Meeting or Have a nice day Mr Hockbey, de Peter Blake (1981-1983, Tate Galery, Londres), una divertida recreación de la obra del pintor francés del siglo XIX Gustave Courbet, en la que aparecían Blake, David Hockney y Howard Hodgkin como principales protagonistas. Otras obras que han sido catalogadas como postmodernas abarcan desde las canciones pop de Madonna a las novelas de Salmon Rushdie y películas como Diva (1981) de Jean- Jacques Beineix, que incluye elementos de drama, escenarios y personajes tomadas de varios géneros. Más ampliamente, algunos críticos creen que la postmodernidad invade toda la sociedad occidental contemporánea: argumentan que en un mundo dominado por la tecnología y los medios de comunicación de masas, la cultura se vuelve inevitablemente superficial y autoreferencial. (Arte del siglo XX, Diccionários Oxford – Complutense, Editorial Complutense, Madrid, 2001.
01/01/2005
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